L’APRES 9 JUIN…
La dissolution de l’Assemblée nationale prononcée par lePrésident de la République immédiatement après l’annoncedes élections européennes a surpris tout le monde. Est-cevéritablement une surprise ? Non, car il n’existait pas d’autresolution pour Emmanuel Macron, s’il voulait reprendre la main politique après lelourd échec de Renaissance.Pouvait-il encore gouverner le pays pendant trois ans avec, à l’Assembléenationale, des partis d’opposition prêts à s’allier uniquement pour voter une motionde censure destinée à faire tomber le gouvernement ? En accélérant le calendrierélectoral, il devient le maître d’un temps court qui oblige, dans la précipitation, lespartis de toutes les oppositions à clarifier leur position et … LIRE LA SUITE