
Tel un alchimiste en quête de la pierre philosophale capable de transformer le plomb en or, Stephen Wallace pense tenir le Graal. Le chef du département de microbiologie de l’université d’Edimbourg a réussi la gageure de métamorphoser les ordures en parfum. « C’était une idée folle qui, contre toute attente, a marché », s’exclame le pionnier d’un procédé de transformation des graisses, huiles, couches de lingette et autres déchets ménagers non biodégradables en une essence à l’odeur du pin.
Cet article est paru es premier sur lopinion.fr
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