Des associations féministes et élus de gauche ont appelé jeudi, après le meurtre de la jeune étudiante Philippine, à « penser ce crime » sous le prisme des féminicides et non de l’immigration.
« La misogynie tue. Ne nous trompons pas de débat », a réagi sur X la Fédération nationale de centres d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF).
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