Le ministre de la justice, Didier Migaud, se dit favorable à l’inscription du consentement dans la loi

En mars, Emmanuel Macron s’était dit favorable à une évolution de la définition du viol. Dans le contexte du procès de Mazan, où une cinquantaine d’hommes sont jugés pour le viol de Gisèle Pelicot, le débat refait surface.

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