Le consentement, question centrale du procès des viols de Mazan

Systématiquement absente dans l’esprit des agresseurs sexuels de Gisèle Pelicot, la question du consentement revient de manière récurrente au procès des viols de Mazan qui pourrait mener à une prise de conscience sociétale voire à une évolution législative de la définition du viol.
Après quatre semaines d’audience, aucun des dix accusés ayant témoigné devant la cour criminelle de Vaucluse -sur les 50 poursuivis pour avoir violé Gisèle Pelicot, préalablement droguée par son mari entre 2011 et 2020 dans leur domicile conjugal du sud-est de la France- ne s’était enquis d’un quelconque accord de la victime, inerte.
« N’ayant jamais eu le consentement de madame Pelicot, je ne peux que constater les faits », a admis Lionel R.

Cet article est paru en premier sur challenges.fr

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