«Il y a viol et viol» : au procès de Mazan, une stratégie de défense périlleuse

DÉCRYPTAGE – La plupart des accusés nient avoir abusé sexuellement de Gisèle Pelicot. Ils affirment ne pas avoir eu «l’intention» de violer la septuagénaire et d’avoir été dupés par son mari. L’un des avocats de la défense est même allé jusqu’à affirmer qu’il y a «viol et viol».

Cet article est paru en premier sur lefigaro.fr

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