
Un soir pluvieux de septembre à Paris, Marina Smid passe commande dans un restaurant depuis le trottoir, deux marches bloquent l’entrée à son fauteuil électrique : une situation encore trop fréquente pour les associations, qui réclamant d’instaurer des sanctions à l’occasion d'”une date couperet” jeudi.
“L’inaccessibilité, aujourd’hui, c’est de la délinquance”, accuse le président du conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) Jérémie Boroy. Depuis ce jeudi, tous les établissements accueillant du public doivent, sauf dérogation, avoir “confirmé que les travaux ont bien été menés”.
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