Gloria Origgi : « Quand on n’intéresse plus qu’une poignée des bobos des centres-villes, il faut se poser des questions »

La philosophe italienne qui vit en France redoute l’arrivée de l’extrême droite aux affaires, comme elle l’est dans son pays. Femme de gauche, elle porte un regard critique sur son camp, coupable d’avoir abandonné la ligne sociale.

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