Devant une des tentes du centre d’accueil de migrants de Lajas Blancas, au Panama, Oswards Ruiz, 39 ans, raconte les coups et menaces de mort qui l’ont contraint à fuir son pays, le Venezuela, après la réélection contestée du président Nicolas Maduro.
« Le peuple a obtenu ce que nous voulions : gagner les élections, mais elles nous ont été volées », déplore auprès de l’AFP l’homme après avoir traversé l’inhospitalière jungle du Darien, à la frontière entre la Colombie et le Panama.
« Nous avons été battus par les +colectivos+ (les groupes armés pro-gouvernementaux) et avons dû partir (.
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