
Les 2 000 personnes toujours installées dans les écoles qui ont servi d’abri d’urgence, pour la plupart des migrants venus des Comores ou du continent africain, sont la cible de violences à l’approche de la rentrée scolaire. Alors que Marine Le Pen est en visite sur l’île dimanche, le préfet appelle « à la paix civile ».
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